L' IA est un outil formidable qui permettra à des personnes réellement créatives d' innover mais mettra sur le carreau les bons élèves, les dégâts risquent d' être important d'ou le besoin d' encadrer comme ci cela pouvait éviter la cata
Merci pour ces informations. J'était en train de creuser pour savoir quelle 'trouvaille' avait déclenché cette tempête.
Le déroulé d'une démonstration mathématique suit des étapes qui s'enchainent par l'utilisation de règles de transformations (parmi tout l'attirail mathématique existant).
Le déroulé d'un texte procède de manière similaire en ce que chaque mot dans une phrase apporte un élément d'information additionnel à ce qui est dit.
Les transformer 'aplatissent' tout ça et permettent de produire des énoncés qui semblent tenir la route sur la base de ce qui a été étudié par le système lors de son entrainement sur un jeu de données du domaine.
Ce qui semble s'être passé est qu'en utilisant les méthodes du reinforcement learning sur une base entrainé sur un corpus mathématique, leur système à, en réalité, trouvé qu'il y a une 'faille' dans la démonstration du système utilisé par le AES192.
Question (et panique) : en est-il de même sur AES256 ? (utilisé par les crypto) ou d'autres.
Il se trouve que dans le monde parfait des mathématiques, il y a malgré tout des bugs (la preuve).
La force de ces systèmes est qu'ils sont capables de produire et tester des millions de conneries à la seconde là ou il faut un temps fou aux mathématiciens pour trouver les erreurs dans les démonstrations !
Apparemment, le moteur Q* / Qualia implémente des "tree of thought" ce qui ouvre certaines capacités notamment celle de raisonner, d'assembler un discours ou une suite logique avant de le sortir, d'en mesurer la validité en cours de route (auto correction / auto inférence et introspection).
Concernant AES256, c'est marginalement plus compliqué que AES192. Si ce dernier a été "cassé" grâce à une faille, elle est peut-être moins applicable à AES256 ce qui sauverait les meubles. S'il s'agit, comme c'est suggéré dans le leak, non d'une faille mais via l'utilisation d'un procédé mathématique systématique, alors AES256 n'est pas à l'abri d'un effondrement.
Tout ceci est une bulle. Et bien sûr L'IA doit être régulée ne serait-ce que pour protéger les droits des utilisateurs. Même les chinois l'ont fait, c'est intéressant et l'une des raison de leur avance en la matière. https://eclaireur.substack.com/p/vers-la-societe-feodale-20
Les cryptos n'ont rien à voir avec l'IA. Il faut sérieusement regarder ce que les chinois font, car c'est intelligent. Leur régulation est fondée sur les droits des utilisateurs. Et c'est à mon sens le seul débat à avoir.
Je n'ai pas dit que l'ia et les cryptos avaient à voir, j'ai dit que la régulation de l'un et de l'autre ne fonctionne pas pour des raisons ontologiques similaires : ces technos ont pénétré plus vite que le régulateur ne peut réguler.
Encore une fois : peu importe ce qu'on aimerait. La législation ne pourra pas suivre donc ces remarques sont périphériques à tout résultat tangible sur le long terme.
L' IA est un outil formidable qui permettra à des personnes réellement créatives d' innover mais mettra sur le carreau les bons élèves, les dégâts risquent d' être important d'ou le besoin d' encadrer comme ci cela pouvait éviter la cata
Merci pour ces informations. J'était en train de creuser pour savoir quelle 'trouvaille' avait déclenché cette tempête.
Le déroulé d'une démonstration mathématique suit des étapes qui s'enchainent par l'utilisation de règles de transformations (parmi tout l'attirail mathématique existant).
Le déroulé d'un texte procède de manière similaire en ce que chaque mot dans une phrase apporte un élément d'information additionnel à ce qui est dit.
Les transformer 'aplatissent' tout ça et permettent de produire des énoncés qui semblent tenir la route sur la base de ce qui a été étudié par le système lors de son entrainement sur un jeu de données du domaine.
Ce qui semble s'être passé est qu'en utilisant les méthodes du reinforcement learning sur une base entrainé sur un corpus mathématique, leur système à, en réalité, trouvé qu'il y a une 'faille' dans la démonstration du système utilisé par le AES192.
Question (et panique) : en est-il de même sur AES256 ? (utilisé par les crypto) ou d'autres.
Il se trouve que dans le monde parfait des mathématiques, il y a malgré tout des bugs (la preuve).
La force de ces systèmes est qu'ils sont capables de produire et tester des millions de conneries à la seconde là ou il faut un temps fou aux mathématiciens pour trouver les erreurs dans les démonstrations !
Apparemment, le moteur Q* / Qualia implémente des "tree of thought" ce qui ouvre certaines capacités notamment celle de raisonner, d'assembler un discours ou une suite logique avant de le sortir, d'en mesurer la validité en cours de route (auto correction / auto inférence et introspection).
Concernant AES256, c'est marginalement plus compliqué que AES192. Si ce dernier a été "cassé" grâce à une faille, elle est peut-être moins applicable à AES256 ce qui sauverait les meubles. S'il s'agit, comme c'est suggéré dans le leak, non d'une faille mais via l'utilisation d'un procédé mathématique systématique, alors AES256 n'est pas à l'abri d'un effondrement.
Un papier fort intéressant ce jour (de DeepMind) qui va dans le sens de ce que j'essayai d'exprimer:
https://www.nature.com/articles/s41586-023-06747-5
Tout ceci est une bulle. Et bien sûr L'IA doit être régulée ne serait-ce que pour protéger les droits des utilisateurs. Même les chinois l'ont fait, c'est intéressant et l'une des raison de leur avance en la matière. https://eclaireur.substack.com/p/vers-la-societe-feodale-20
Ceci n'est pas une bulle et la régulation des IA, ce sera comme celles des cryptos. Chimérique.
Les cryptos n'ont rien à voir avec l'IA. Il faut sérieusement regarder ce que les chinois font, car c'est intelligent. Leur régulation est fondée sur les droits des utilisateurs. Et c'est à mon sens le seul débat à avoir.
Je n'ai pas dit que l'ia et les cryptos avaient à voir, j'ai dit que la régulation de l'un et de l'autre ne fonctionne pas pour des raisons ontologiques similaires : ces technos ont pénétré plus vite que le régulateur ne peut réguler.
Ben si, en matière de droit des utilisateurs, c'est nécessaire, sinon cette "technologie" ne servira à rien.
Encore une fois : peu importe ce qu'on aimerait. La législation ne pourra pas suivre donc ces remarques sont périphériques à tout résultat tangible sur le long terme.
Bien sûr que si! Je vous parle des droits des utilisateurs. Lisez l'article plus haut.