Si je partage complètement votre constat sur cet état consternant de la société qui est la nôtre, cette gabegie totalement immorale des institutions, cette irresponsabilité des ”élus” (j'avais d'abord écrit nos "élus" puisque c'est l'expression consacrée, mais ce ne sont pas les miens et sans doute pas les vôtres non plus)... ces "élus" donc, crétins, bornés et inconséquents, de cette idéologie du tout dans l'état, rien hors de l'état cher à un certain mussolini (sans majuscule bien sûr pour ce socialiste patenté. idem pour état) et pour cette indolence désespérante de nos concitoyens, je n'ai pourtant pas envie de céder à tout ce pessimisme qui est le vôtre. La Liberté ne se défend pas ainsi. Le pessimisme est la pire des solutions, il condamne chaque initiative individuelle aussi modeste soit elle à n'être au fond qu'un dernier soupir de désespoir et non cette petite pierre solide sur laquelle bâtir un futur désirable, celui de la Liberté retrouvée bien sûr. Ce pays est foutu ? Avec un point d'interrogation ça change un peu les perspectives de votre point ”final” habituel, non ?
Votre billet admet que nous sommes tous responsables de ce qui nous arrive; mais même si nous avons majoritairement mal choisi nos élus ceux-ci ne sont t’ils pas responsables politiquement, moralement, pénalement pour avoir cachés la vérité ( livre blanc sur les retraites de M Rocard) depuis 1973.
D'une part, "tous responsables" est un peu trop large. Il y a des gens qui alertent, depuis des décennies, sur les dérives. Ils ne sont plus audibles, mais eux ne sont pas responsables. Ils sont victimes. D'autre part, les politiciens sont les premiers responsables, oui, pour avoir choisi la facilité de la démagogie plutôt que le courage d'imposer parfois les choix douloureux (couper les subventions, les aides, les roudoudous distribués généreusement)...
Ils ne vous lisent ni ne vous écoutent pas ainsi que les lanceurs d’alertes. Ils cherchent ou croient qu’ils passeront entre les gouttes des catastrophes économiques en rejetant la faute sur n’ importe qui ou quoi, les politiciens se nourrissent de ceux là.
Le socialisme échoue toujours, quelles que soient les formes qu’il prend, communisme ou social-démocratie, parce que la création de richesses ne se décrète pas, parce qu’elle n’est pas le résultat des stimuli des dépenses publiques, qui ne permettent que de faire plaisir à sa clientèle électorale, parce que seule la liberté économique permet la prospérité.
Si je partage complètement votre constat sur cet état consternant de la société qui est la nôtre, cette gabegie totalement immorale des institutions, cette irresponsabilité des ”élus” (j'avais d'abord écrit nos "élus" puisque c'est l'expression consacrée, mais ce ne sont pas les miens et sans doute pas les vôtres non plus)... ces "élus" donc, crétins, bornés et inconséquents, de cette idéologie du tout dans l'état, rien hors de l'état cher à un certain mussolini (sans majuscule bien sûr pour ce socialiste patenté. idem pour état) et pour cette indolence désespérante de nos concitoyens, je n'ai pourtant pas envie de céder à tout ce pessimisme qui est le vôtre. La Liberté ne se défend pas ainsi. Le pessimisme est la pire des solutions, il condamne chaque initiative individuelle aussi modeste soit elle à n'être au fond qu'un dernier soupir de désespoir et non cette petite pierre solide sur laquelle bâtir un futur désirable, celui de la Liberté retrouvée bien sûr. Ce pays est foutu ? Avec un point d'interrogation ça change un peu les perspectives de votre point ”final” habituel, non ?
Oh je ne suis pas siiii pessimiste ; je dis essentiellement que cela va devoir aller nettement moins bien pour un jour pouvoir aller mieux.
Et en fait de pays, c'est plutôt "cet état est foutu". Le pays, millénaire, s'en remettra. Mais "cet état est foutu", ça rend moins bien ;)
Votre billet admet que nous sommes tous responsables de ce qui nous arrive; mais même si nous avons majoritairement mal choisi nos élus ceux-ci ne sont t’ils pas responsables politiquement, moralement, pénalement pour avoir cachés la vérité ( livre blanc sur les retraites de M Rocard) depuis 1973.
D'une part, "tous responsables" est un peu trop large. Il y a des gens qui alertent, depuis des décennies, sur les dérives. Ils ne sont plus audibles, mais eux ne sont pas responsables. Ils sont victimes. D'autre part, les politiciens sont les premiers responsables, oui, pour avoir choisi la facilité de la démagogie plutôt que le courage d'imposer parfois les choix douloureux (couper les subventions, les aides, les roudoudous distribués généreusement)...
C’est bien le peuple qui délaisse la liberté, et non pas le tyran qui la lui prend. (Étienne de La Boétie, Discours de la servitude volontaire)
Ils ne vous lisent ni ne vous écoutent pas ainsi que les lanceurs d’alertes. Ils cherchent ou croient qu’ils passeront entre les gouttes des catastrophes économiques en rejetant la faute sur n’ importe qui ou quoi, les politiciens se nourrissent de ceux là.
Constat totalement partagé.
Mille ans que ça dure : https://temoignagefiscal.substack.com/p/les-deficits-francais-inquietent.
Et Chloé et Nicolas continuent de glorifier les cigales...
Le socialisme échoue toujours, quelles que soient les formes qu’il prend, communisme ou social-démocratie, parce que la création de richesses ne se décrète pas, parce qu’elle n’est pas le résultat des stimuli des dépenses publiques, qui ne permettent que de faire plaisir à sa clientèle électorale, parce que seule la liberté économique permet la prospérité.
Francis Richard