Quelques scories de la crise pandémique
Le bilan des dernières années est encore loin d'être écrit.
Il y a quelques jours sortait le rapport officiel de la Chambre des Représentants américaine sur la gestion de la pandémie de 2020 et 2021 et alors qu’il contient plus de matière à pop-corn qu’un champ du Middle West en pleine saison de récolte, la presse occidentale fut particulièrement discrète à son sujet.
Peu de surprise ici : les conclusions de ce rapport (qu’on pourra consulter ici) sont sans ambiguïté et relativement peu tendres avec les autorités. Pire : le rapport donne de nouvelles munitions aux abominables théoriciens du complot.
C’est donc assez logiquement que la presse grand public, qui a depuis plusieurs mois abandonné toute prétention à faire de l’information pour embrasser goulûment la propagande grossière des autorités, a enfilé quelques titres minimisant autant que possible la portée de ce rapport : il ne s’agit plus du rapport final de la Chambre des Représentants, mais bien « un rapport » pondu entre deux portes par « des élus américains » qui est évidemment partisan.
On peut comprendre la presse, elle qui avait soigneusement écarté la thèse d’un virus issu d’un laboratoire, puis consciencieusement pilonné quelques mois plus tard le moindre chercheur, le moindre politicien ou le moindre internaute qui avait émis une thèse semblable, pour ne laisser le champ qu’à l’histoire amusante du pangolin fiévreux.
À présent, il lui est compliqué de faire marche arrière, alors que le rapport, fruit de plusieurs années de travail, montre que c’est bien l’hypothèse d’un incident de laboratoire en Chine qui est retenue comme cause la plus probable et non une zoonose. Mais il y a bien pire.
On y apprend de surcroît que ce virus est le résultat de bricolages (pourtant interdits) sur les gains de fonction. Là encore, on se rappelle des hauts cris qui furent poussés pour agonir d’injure les internautes qui osaient émettre cette idée. Au passage, ces bricolages furent menées par EcoHealth Alliance Inc. et ont donc été financés notamment par l’argent du contribuable américain. Là encore, la presse s’était enfoncée dans un déni puis un refus de traiter cet aspect. Elle continue du reste sur sa lancée encore à présent.
Au delà de ces points, le rapport montre que la gestion de la crise a été réalisée par des agences qui n’avaient ni les fonctions appropriées, ni les fonds destinés à ce genre d’opération et qu’au lieu de prioriser les populations les plus vulnérables, les politiques ont forcé des millions d’Américains à des comportements inadaptés.
En outre, contrairement aux promesses, le vaccin n’a empêché ni la propagation, ni la transmission du virus. Cela n’empêche pas les autorités de continuer à couiner pour inciter les individus à se faire inoculer avec ce qui n’est plus rien d’autre qu’une véritable fraude. En 2021 et 2022, on se rappelle douloureusement qu’elles avaient en outre assorti cette inoculation d’une obligation, bafouant toutes les libertés individuelles.
Le rapport mentionne de surcroît que plus de 160 000 entreprises américaines ont fermé en raison des décisions gouvernementales (dont 60 % le sont maintenant de façon définitive). On imagine sans peine qu’il en a été de même en France et en Europe, et la facture commence tout juste à nous parvenir.
Il contient d’autres conclusions importantes qu’on laissera au lecteur le soin de trouver, mais mentionnons tout de même la remarque que la « science » n’a jamais pu justifier la fermeture prolongée des écoles et que les enfants y ont subi des pertes historiques d’apprentissage, des taux plus élevés de détresse psychologique dont on commence tout juste à percevoir l’ampleur actuellement.
Autrement dit, la plupart des observations de bon sens qui furent pourtant combattues il y a deux ou trois ans se révèlent maintenant exactes mais ceux qui les ont émises furent largement ostracisés et combattus en leur temps. Ne comptez pas trop ni sur les autorités ni sur les médecins, experts de plateaux et journalistes responsables à l’époque de ces comportements honteux pour venir s’excuser à présent.
Il en ira de même pour les traitements qui avaient été présentés à l’époque comme prometteurs avant d’être copieusement moqués pour être ensuite interdits. Il ne fallait pas que leur existence menace la distribution – extrêmement lucrative – de piqûres miraculeuses.
On se souvient de l’épisode lamentable concernant l’ivermectine : présentée, dans une presse en dessous de tout, comme exclusivement réservée pour des traitements anti-parasitiques (voire limitée aux seuls animaux), plusieurs études s’étaient discrètement multipliées tendant à prouver de véritables effets préventifs et curatifs. À chaque fois, la presse, les experts de plateaux et le conformisme en béton armé de la profession médicale s’étaient associés pour faire enterrer toute idée d’utiliser l’anthelminthique comme traitement, alors même que son innocuité ne fait par ailleurs aucun doute…
Une récente étude, revue par les pairs et parue sur le site officiel du gouvernement américain sur les essais cliniques, montre à présent et sans ambiguïté que l’ivermectine est bien efficace contre le virus SARS-COV2, tant en prévention qu’en traitement. Compte-tenu de l’absence d’effets secondaires de cette molécule, la comparaison avec les actuelles décoctions miraculeuses de Pfizer & Compagnie laisse songeur.
Combien de patients souffrant actuellement d’effets secondaires graves des essais cliniques mondiaux qui eurent lieu entre 2021 et 2023 auraient probablement préféré l’anthelminthique ?
La question n’est pas du tout rhétorique puisque régulièrement, des études sortent sur, précisément, les effets secondaires des injections ARNm. Dernièrement, c’est un article, lui aussi revu par les pairs et paru dans Nature et portant sur un petit nombre de participants (n = 2 027 353), qui montre là encore sans équivoque que cette thérapie accroît les risques de dépression, d’anxiété, de troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes, et de troubles du sommeil. Avec les soupçons de plus en plus forts sur d’autres formes d’effets secondaires (à commencer par les myocardites), il semble que l’innovation de Pfizer et Moderna devrait être utilisée avec beaucoup plus de précautions que (au hasard) l’ivermectine.
Petit-à-petit, on se rend donc compte que toutes les craintes, toutes les hypothèses des complotistes se révèlent exactes.
Non seulement, la gestion de la crise pandémique fut absolument désastreuse sur le plan politique, économique et social, mais aussi sur le plan médical.
L’Occident commence tout juste à subir les contre-coups de l’inévitable facture des excès de cette gestion calamiteuse. Gestion calamiteuse qui aura poussé l’Union européenne à des injections monétaires massives, dont les effets se font actuellement sentir avec une crispation économique de plus en plus sévère.
À ceci, il faut ajouter le coût humain, de plus en plus visible. Une étude de SwissRe, l’un des plus gros réassureurs mondiaux, montre une surmortalité qui s’est durablement installée dans les pays occidentaux avec une surprise : au lieu d’une augmentation de mortalité liée à des problèmes respiratoires (ce qui semble logique pour une infection de ces voies), ce sont les problèmes cardiovasculaires qui semblent dominer les causes de cette hausse de mortalité.
Autrement dit, non seulement les erreurs commises furent extrêmement coûteuses, mais nous n’avons pas fini de les payer et pour certains, ce sera avec leur vie.
Les réseaux complotistes, nous ont permis de résister et de nous rendre compte de la supercherie qui était en train de s'installer dans le monde. Une époque difficile pour les non vaccinés !
Bonjour, à propos de : "la « science » n’a jamais pu justifier la fermeture prolongée des écoles et que les enfants y ont subi des pertes historiques d’apprentissage, des taux plus élevés de détresse psychologique"
--> détresse psychologique, c'est sûr (comment les adultes qui doivent me protéger ont-ils pu obéir à une décision absurde à mon détriment ?).
Mais cette période a aussi permis à des milliers d'enfants et de familles de se rendre compte que l'apprentissage loin de l'école était plus efficient et plus agréable, ce qui a occasionné de nombreux passages en instruction en famille, décision insupportable pour le pouvoir (quoi, 0,7% des enfants vont être habitués à suivre leurs sujets d'intérêt, à réfléchir par eux-mêmes, à ne pas être comparés aux autres ?), ce qui a abouti à une interdiction de l'IEF l'année suivante, interdiction inédite en France. Le ministère a fini par avouer explicitement qu'il lui avait fallu stopper l'hémorragie : https://www.liberteeducation.com/ief-les-reponses-lunaires-de-la-nouvelle-directrice-de-lenseignement-scolaire-dgesco